4/24/2008
Qui êtes-vous?
Peut-être n'avons-nous jamais réellement fait connaissance? Je sais que plusieurs d'entre vous viennent du Québec, mais plusieurs autres me visite régulièrement depuis la France, la Belgique, la Suisse, l'Algérie, le Maroc et la Tunisie. Quelques-unes proviennent des provinces anglophones canadiennes : je vois une Vancouveroise et plusieurs Ontariennes. D'autres, moins nombreuses proviennent des États-Unis : l'une d'entre vous vient de San Francisco et plusieurs autres de l'Est des États-Unis. Au passage, je reçois des visites de la Grande-Bretagne, de la Finlande, de la Suède et du Danemark.
Non, je ne cherche pas à épier vos habitudes, mais j'aimerais bien savoir qui vous êtes.
Êtes-vous toutes mères de votre état? Et comment ça se passe pour vous? Être mère au Maroc, est-ce si différent que d'être mère en France, au Québec ou au Danemark? Et aux États-Unis?
Que trouvez-vous utile dans ce blogue?
Exprimez-vous! Présentez-vous! Faut pas se gêner!
4/22/2008
Santé!
Un peu plus tôt cet hiver, elle me proposait de collaborer à ce blogue en partageant quelques conseils qui nous aideraient à rester en santé. Et pourquoi pas, me suis-je dis. Après tout, quand on est mère, la santé occupe une place centrale dans notre vie. Pendant les premières années de de nos petits (et même quand ils sont plus grands!), les microbes et virus de toutes sortes nous envahissent plus souvent qu'on le souhaiterait.
Je m'empresse de lui laisser les prochains paragraphes pour se présenter. De semaine en semaine, je publierai ses billets et si vous les cherchez sur ce blogue, ils seront dans la section "santé".
"Présentation de la naturopathe
et de la naturopathie
Je suis diplômée de l’IRRSN où j’enseigne depuis 5 ans. Je me spécialise en périnatalité et enfance. Je mets à profit mon expérience pour enseigner aux parents comment prendre soin de leurs enfants. Les miens n’ont, jusqu’à ce jour, pas eu recours à la médecine allopathique.
Mes objectifs
-que chacun prenne sa santé en main, par des gestes simples et accessibles;
-que mes patients comprennent comment fonctionne leur corps et prennent action pour le maintien de leur santé;
-que mes soins soient complémentaires à la médecine officielle;
-et finalement, que les problématiques qui le nécessitent, soient référées à un médecin.
La naturopathie
C’est, selon moi, la médecine du gros bon sens. Elle repose sur la notion de facteurs de santé : alimentation, repos, exercice, air, eau, soleil, environnement, gestion du stress et des émotions. Et lorsque nécessaire, on utilise les produits de santé naturels.
Je désire collaborer à ce blog pour permettre une plus grande diffusion de ses notions si simples, mais essentielles à une prise en charge de sa santé. Avec notre système de santé, c’est devenu nécessaire.
Suivez mes rubriques santé hebdomadaires; la première série portera sur la santé de notre système immunitaire.
Marie-Hélène Lessard"
4/21/2008
La lecture avec papa serait bénéfique aux garçons
Histoire de garçons
(Agence Science-Presse) - S’asseoir sur les genoux de papa pour écouter une histoire donnerait aux garçons non seulement le goût de la lecture, mais aussi le goût de l’école! Une expérience québécoise de valorisation de la lecture et de l’écriture démontre que, contrairement à ce que l’on pense, les garçons ne seraient allergiques ni l’une ni à l’autre.
« Les garçons ont peu de modèles masculins de lecteurs. Plus ils se sentent compétents, plus ils vont lire », soutient Natalie Lavoie, professeure en sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Rimouski (UQAR). Avec son collègue, Jean-Yves Lévesque, elle a mené une expérience auprès d'une trentaine de jeunes garçons de 9 à 13 ans à risque de décrochage scolaire afin de stimuler leur intérêt pour la lecture et l'écriture.
Cette recherche-action menée pendant cinq ans au sein de trois écoles du Bas-Saint-Laurent s’est avérée très positive. Et même si le nombre d’élèves reste modeste, mettre l’accent sur la lecture et l’écriture permet de freiner le redoublement (29,7 % contre 56,3 % dans le groupe témoin) et l’orientation en cheminement particulier (15 % contre 48 %).
Accroître l’intérêt des garçons pour les livres et modifier leurs habitudes de lecture augmentent leur participation aux activités et leur sentiment de compétence. « Cela exerce une influence certaine sur leur activité scolaire et leurs résultats », résume la chercheuse.
Lecture de garçons
Antoine, en sixième année de primaire, ne lisait pas et ne participait pas aux activités de lecture. Un an plus tard, il affirme lire tous les jours « pour apprendre de nouveaux mots » même s’il préfère toujours les livres d’action aux romans.
« Nous avions la préoccupation de partir de l’univers des garçons en leur offrant des livres proches de leur vécu et des modèles masculins, mais aussi, d’élargir l’univers culturel des garçons », explique Jean-Yves Lévesque. Car ceux qui démontrent le plus de difficultés proviennent souvent de milieux où l’on ne lit pas. « Certains n’avaient même jamais ouvert un journal », rapporte le chercheur.
Le spécialiste de la prévention des échecs et du décrochage scolaire à l’UQAR trouve aussi important de s’appuyer sur tous les supports possibles, de la BD jusqu’au cinéma. Les élèves se sont ainsi livrés à une analyse critique d’Astérix et Cléopâtre : « BD ou film, quelle est la meilleure version? »
Lire partout
Les chercheurs ont également mis en pratique de nombreuses recettes : aménager des coins lecture dans la classe, clubs de lecture, discussions autour de textes écrits ou lus, travaux d’écriture communs... jusqu’à la visite de personnalités locales qui venaient lire en classe. L’autre originalité de cette démarche a été de s’assurer différents soutiens – enseignants, municipalités, universitaires —, mais surtout de travailler dans tous les milieux, à l’école comme à la maison.
Le principal changement constaté est l’évolution du regard que les garçons portent sur la lecture. « Cela n’est plus seulement une activité pratiquée à l’école, mais aussi à l’extérieur de l’établissement », résume Natalie Lavoie.
Cette recherche-action de l’UQAR et de la commission scolaire des Phares visait à augmenter la réussite scolaire des garçons. Elle a aussi permis de changer la croyance que « les livres, c’est pour les filles! »
4/20/2008
Mères et cie
Mères et cie est une entreprise québécoise fort dynamique qui s'est donnée pour mission de promouvoir et de célébrer la maternité. Fondée par Caroline Casabon, Mères et cie regroupe huit mères qui sont aussi femmes d'affaires et qui évoluent dans le domaine de la maternité. Mères et cie compte aussi sur un grand nombre de mères collaboratrices. L'objectif : profiter pleinement de la vie de famille tout en se réalisant professionnellement.
Le site de Mères et cie est riche en contenu : de nombreuses chroniques traitent de la maternité, de l'adoption, des enfants et de tous les sujets qui intéressent généralement les Mères parfaites que nous sommes. Mes coups de coeur : le Guide de survie et la chronique Mères et cie a rencontré qui regroupe quelques entrevues avec des personnalités, notamment sur le sujet de la conciliation entre la vie de famille et la carrière. La section est encore jeune, mais le sujet est prometteur. Une lettre d'information, Des nouvelles de la cigogne, vous permet de rester au courant de leurs activités.
Récemment, Mères et cie lançait des Webisodes. De courtes capsules humoristiques sur la maternité. Amusant ! Constatez-le par vous-même!
4/14/2008
Pour l'égalité entre les femmes et les hommes
L'intérêt de ce document est qu'il décrit les orientations que suivra le gouvernement pour les dix prochaines années, c'est-à-dire, jusqu'en 2012.
Si, comme moi, vous n'aviez pas encore pris connaissance de cette politique, vous avez maintenant l'occasion de le faire (en espérant que le pdf ne fasse pas planter votre ordi!).
À lire...
4/02/2008
La famille ou le travail?
Cyberpresse - 25 mars 2008
La famille ou le travail?
Si les travailleurs aspirent à mieux concilier travail et famille, la réalité au boulot ne leur facilite pas la tâche. Dans leur recherche de productivité, les employeurs, et c’est tout à fait compréhensible, dit Daniel Mercure, exigent polyvalence, flexibilité, compétence. Ce qui, en contrepartie, crée inévitablement une surcharge mentale pour les travailleurs.
Ajoutons à cela le fait que les trois quarts des responsables d’un ménage occupent un emploi, que le taux d’activité des femmes de 25 à 44 ans dépassait les 80 % en 2006 (contre 48,4 % en 1976), que le temps d’absence du domicile pour des raisons liées au travail ne cesse d’augmenter et que les emplois à horaires difficilement prévisibles sont en hausse.