Terrifiant, ce petit monstre!!!!
10/31/2007
10/25/2007
Santé Canada se penche sur la conciliation travail-famille
Voici un article fort intéressant publié le 5 octobre dernier dans La Presse:
Faire rimer boulot avec marmot
Courir. Toujours courir. Au travail, à la garderie. Courir pour pouvoir donner le bain aux petits et aider les plus grands à faire leurs devoirs. Le problème est connu. Les solutions aussi. Comme des horaires flexibles, la conciliation travail-famille, le partage d'emplois.
Et j'aimerais attirer votre attention vers ce paragraphe en particulier :
"Puisqu'une forte pénurie de main-d'oeuvre se profile au pays, les compagnies devront retenir leurs travailleurs le plus longtemps possible, estime Mme Saba. Selon elle, faciliter la conciliation travail-famille est une excellente solution. «C'est une bonne façon d'attirer des travailleurs et de conserver ceux qu'on a plus longtemps. Les entreprises n'auront pas le choix», dit-elle."
Et ne l'oubliez pas...
Faire rimer boulot avec marmot
Courir. Toujours courir. Au travail, à la garderie. Courir pour pouvoir donner le bain aux petits et aider les plus grands à faire leurs devoirs. Le problème est connu. Les solutions aussi. Comme des horaires flexibles, la conciliation travail-famille, le partage d'emplois.
Et j'aimerais attirer votre attention vers ce paragraphe en particulier :
"Puisqu'une forte pénurie de main-d'oeuvre se profile au pays, les compagnies devront retenir leurs travailleurs le plus longtemps possible, estime Mme Saba. Selon elle, faciliter la conciliation travail-famille est une excellente solution. «C'est une bonne façon d'attirer des travailleurs et de conserver ceux qu'on a plus longtemps. Les entreprises n'auront pas le choix», dit-elle."
Et ne l'oubliez pas...
Publié par :
Christine Simard
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conciliation travail-famille
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La mère travaille
10/22/2007
Dépression prénatale
Je ne me souviens plus très bien à quel moment précis de ma grossesse, mais il y eut une période - quelque part entre le 5e et le 7e mois - où le spectre de la dépression s'est manifesté.
Pour bien des femmes, dont j'en suis, admettre que la dépression nous gagne pendant la grossesse est difficile. Comment peut-on s'avouer dépressive alors qu'on porte en soi le plus beau poupon au monde? Dans certains milieux, c'est mal vu.
Et pourtant, c'est plus courant qu'on le pense et des spécialistes croient maintenant qu'il y aurait un lien étroit entre la dépression prénatale et la dépression post-partum. Rarement diagnostiquée et soignée pendant la grossesse, la dépression se manifesterait plus fortement après l'accouchement. Aujourd'hui encore, au Canada notamment, nombreuses sont les futures mères qui ne sont pas soignées et ce, même si la dépression prénatale est bien documentée.
Si ce sujet vous préoccupe, vous pourrez poser vos questions à deux spécialistes dans une tribune Internet organisée par le Globe and Mail (Experts take questions on pre and post-partum depression ). Les chercheures invitées sont Andrea O'Reilly, une professeure-invitée de l'université de York spécalisée sur l'étude des femmes, en particulier sur les questions touchant la maternité, et Gina Wong-Wylie, une psychologue qui s'intéresse particulièrement à la maternité, à la famille et au couple. Les deux spécialistes seront en ligne à compter de 13h ce mercredi 24 octobre.
Vous pouvez soumettre vos questions à l'avance. Pour ma part, je n'aurai pas le temps d'y être, mais si vous le pouvez, communiquez-moi vos impressions!
PS : la tribune est en anglais seulement.
Pour bien des femmes, dont j'en suis, admettre que la dépression nous gagne pendant la grossesse est difficile. Comment peut-on s'avouer dépressive alors qu'on porte en soi le plus beau poupon au monde? Dans certains milieux, c'est mal vu.
Et pourtant, c'est plus courant qu'on le pense et des spécialistes croient maintenant qu'il y aurait un lien étroit entre la dépression prénatale et la dépression post-partum. Rarement diagnostiquée et soignée pendant la grossesse, la dépression se manifesterait plus fortement après l'accouchement. Aujourd'hui encore, au Canada notamment, nombreuses sont les futures mères qui ne sont pas soignées et ce, même si la dépression prénatale est bien documentée.
Si ce sujet vous préoccupe, vous pourrez poser vos questions à deux spécialistes dans une tribune Internet organisée par le Globe and Mail (Experts take questions on pre and post-partum depression ). Les chercheures invitées sont Andrea O'Reilly, une professeure-invitée de l'université de York spécalisée sur l'étude des femmes, en particulier sur les questions touchant la maternité, et Gina Wong-Wylie, une psychologue qui s'intéresse particulièrement à la maternité, à la famille et au couple. Les deux spécialistes seront en ligne à compter de 13h ce mercredi 24 octobre.
Vous pouvez soumettre vos questions à l'avance. Pour ma part, je n'aurai pas le temps d'y être, mais si vous le pouvez, communiquez-moi vos impressions!
PS : la tribune est en anglais seulement.
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Christine Simard
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La mère découvre
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maternité
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santé
10/21/2007
Nouvelles mamans : solitude
En Grande-Bretagne, un sondage mené auprès de 2000 nouvelles mères britanniques, démontre que la majorité d'entre elles souffrent de solitude pendant l'année suivant la naissance de leur premier bébé.
Les résultats de ce sondage commandé par Tesco, une compagnie d'alimentation (un peu comme Loblaws ici), et le magazine Mother & Baby, sont dévoilés à l'occasion du lancement d'une campagne visant à encourager les nouvelles mères à sociabiliser davantage et ainsi sortir de leur isolement.
Voici les faits saillants :
* 2 répondantes sur 3 habitent loin de la famille immédiate. Dans 53% des cas, les nouvelles mamans se sentent "seules et isolées". Seules 29% des femmes interrogées habitent dans le même village que leurs parents et seulement 7% habitent dans la même ville.
* 9 répondantes sur 10 s'ennuient de la vie sociale dont elles profitaient avant la naissance de leur enfant. Les deux tiers des femmes interrogées se sentent "coupées de la vie normale".
* 10% des femmes interrogées fréquentent leurs voisins. Près de la moitié des 2000 répondantes ont avoué n'avoir jamais vraiment parlé à leurs voisins.
*Le tiers d'entre elles se sentent au bord des larmes et 20% ont l'impression de ne pouvoir parler à personne.
*Dans l'ensemble, la moyenne des nouvelles mères interrogées passent seulement 90 minutes par jours en compagnie d'autres personnes, en excluant leur conjoint. Dans 34% des cas, elles passent la journée seule avec leur bébé.
*Le quart des mères estime que la relation avec leur conjoint bat de l'aile depuis la naissance de bébé. Seules 19% d'entre elles croient que leur couple est plus fort.
Moi aussi je me sentais seule à la naissance de fiston, mais...j'aimais ça...et j'avais le sentiment que c'était un besoin primaire d'être seule avec mon bébé. Il faut dire que je passais pas mal de temps à explorer Internet quand bébé dormait. Je n'avais pas envie de socialiser. Même les rencontres de coaching hebdomadaire sur l'allaitement me tapaient sur les nerfs. Je suis peut-être plus solitaire que la moyenne ou alors c'était peut-être un signe que la dépression post-partum me guettait et que je me plaisais à ignorer...
Les résultats de ce sondage commandé par Tesco, une compagnie d'alimentation (un peu comme Loblaws ici), et le magazine Mother & Baby, sont dévoilés à l'occasion du lancement d'une campagne visant à encourager les nouvelles mères à sociabiliser davantage et ainsi sortir de leur isolement.
Voici les faits saillants :
* 2 répondantes sur 3 habitent loin de la famille immédiate. Dans 53% des cas, les nouvelles mamans se sentent "seules et isolées". Seules 29% des femmes interrogées habitent dans le même village que leurs parents et seulement 7% habitent dans la même ville.
* 9 répondantes sur 10 s'ennuient de la vie sociale dont elles profitaient avant la naissance de leur enfant. Les deux tiers des femmes interrogées se sentent "coupées de la vie normale".
* 10% des femmes interrogées fréquentent leurs voisins. Près de la moitié des 2000 répondantes ont avoué n'avoir jamais vraiment parlé à leurs voisins.
*Le tiers d'entre elles se sentent au bord des larmes et 20% ont l'impression de ne pouvoir parler à personne.
*Dans l'ensemble, la moyenne des nouvelles mères interrogées passent seulement 90 minutes par jours en compagnie d'autres personnes, en excluant leur conjoint. Dans 34% des cas, elles passent la journée seule avec leur bébé.
*Le quart des mères estime que la relation avec leur conjoint bat de l'aile depuis la naissance de bébé. Seules 19% d'entre elles croient que leur couple est plus fort.
Moi aussi je me sentais seule à la naissance de fiston, mais...j'aimais ça...et j'avais le sentiment que c'était un besoin primaire d'être seule avec mon bébé. Il faut dire que je passais pas mal de temps à explorer Internet quand bébé dormait. Je n'avais pas envie de socialiser. Même les rencontres de coaching hebdomadaire sur l'allaitement me tapaient sur les nerfs. Je suis peut-être plus solitaire que la moyenne ou alors c'était peut-être un signe que la dépression post-partum me guettait et que je me plaisais à ignorer...
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10/19/2007
La conciliation travail-famille : tout un défi pour les mères
Ce sondage publié par Workopolis a été mené au printemps 2007 auprès de 219 mères canadiennes au travail. Même si l'échantillon est petit, les conclusions de ce sondage pourraient vous intéresser :
MONTREAL, le 10 mai /CNW/ - La participation accrue des femmes sur le
marché du travail est l'une des tendances sociales les plus marquantes au
Canada dans le dernier quart de siècle. Toutefois, selon un récent sondage de
Workopolis, principal fournisseur de solutions de recrutement et de recherche
d'emploi par Internet au Canada, les mères qui travaillent ont de la
difficulté à concilier le travail et la famille.
Selon le sondage publié aujourd'hui, un quart (25 %) des mères au travail
affirment que leurs employeurs n'offrent aucun programme pour faciliter le
retour au travail. Ce qui faciliterait la vie de ces mamans serait d'offrir
des heures de travail flexibles, une garderie sur place ainsi que la
possibilité de faire du travail à la maison à l'occasion.
"Pour les supers mamans qui travaillent à l'extérieur de la maison,
essayer de trouver un équilibre entre leur carrière et leur famille peut les
amener à relever de sérieux défis, affirme Bruno Gendron, vice-président,
région de l'Est du Canada, pour Workopolis. En raison du marché de l'emploi
actuel et de la pénurie de main d'oeuvre, les employeurs avisés savent qu'il
est plus important que jamais de reconnaître les besoins des mères au travail
et de mettre en oeuvre des programmes pour continuellement attirer et garder
les employées talentueuses."
Ce que font les employeurs pour faciliter le retour au travail des mères
Près de la moitié des mères au travail (48 %) ont révélé que leurs
employeurs leur donnent des heures de travail flexibles, afin d'aider leur
retour au travail, ce qui signifie pour plusieurs mères qu'elles réussissent à
la fois de faire les boîtes à lunch des enfants et d'arrivent à l'heure au
bureau. La possibilité de prolonger le congé de maternité est également en
tête de liste des avantages que les employeurs offrent aux mères - une mère au
travail sur cinq (20 %) est restée un peu plus longtemps à la maison avant de
retourner au travail.
<<>>
Les employeurs du Québec semblent toutefois préconiser la possibilité
d'un congé de maternité prolongé, encore plus que les employeurs du reste du
Canada. Un tiers des mères au travail du Québec rapportent que leurs
employeurs offrent des congés de maternité prolongés.
Ce que veulent les mères
Évidemment, les heures de travail flexibles sont au premier rang pour ce
que désire les mères au travail avec un tiers (32 %) des mères indiquant cette
option comme étant la meilleure pour les aider à équilibrer leurs horaires
chargés. L'option de la garderie au lieu de travail est également très
populaire, se retrouvant en deuxième position, avec 13 % des mères qui
indiquent que c'est ce qu'elles préféreraient pour faciliter la conciliation.
Il existe plus d'employeurs qui offrent actuellement des possibilités de
congé de maternité prolongé qu'il y a de mères au travail qui y sont
intéressées, avec seulement 10 % des mères qui préconisent cette option.
La salle de conférence contre la salle de lavage
Trop souvent, les mères doivent choisir entre travailler de longues
heures pour rencontrer des échéances au travail et assister à la pièce de
théâtre de l'école de leur enfant. Plus d'un quart (27 %) des mères au travail
qui ont répondu au sondage affirment que la plus grande difficulté rencontrée
est le temps qu'elles passent loin de leur famille. Une mère sur dix (9 %)
affirme que son plus grand défi est de se faire prendre au sérieux en tant que
mère au travail. Mais, par-dessus tout, les mères ont répondu qu'elles ne
parviennent pas à trouver le temps dans la journée pour faire les tâches
ménagères Près de 40 % des répondantes ont indiqué que cela était leur plus
grand défi.
"La diversité sur le marché du travail apporte de la diversité d'idées,
ce qui ajoute à l'avantage concurrentiel sur le plan des affaires, indique
M. Gendron. Si un grand nombre de mères au travail décidaient que : 'Les défis
de la conciliation travail-famille sont trop importants, la vie sera beaucoup
plus facile en restant à la maison', l'économie de ce pays s'écroulerait
brutalement."
Des récompenses bien méritées
Plus de la moitié (52 %) des mères qui travaillent sont d'avis que la
contribution financière qu'elles apportent au foyer familial est la plus
grande récompense de la conciliation travail-famille. Trois mères sur dix
(29 %) ont indiqué que la satisfaction provenant de leur travail était la plus
grande récompense, et un autre 10 % des répondantes ont affirmé que leur plus
grande motivation était que le fait de travailler à l'extérieur de la maison
leur permet d'être de meilleures mères pour leurs enfants.
[...]
À propos du sondage : Le sondage, réalisée par la firme de recherche
Decima entre le 19 avril et le 30 avril 2007 a été mené par téléphone à
travers le Canada auprès d'un échantillon représentatif de 219 mères
canadiennes au travail. La marge d'erreur est +/-6,6 %.
***
MONTREAL, le 10 mai /CNW/ - La participation accrue des femmes sur le
marché du travail est l'une des tendances sociales les plus marquantes au
Canada dans le dernier quart de siècle. Toutefois, selon un récent sondage de
Workopolis, principal fournisseur de solutions de recrutement et de recherche
d'emploi par Internet au Canada, les mères qui travaillent ont de la
difficulté à concilier le travail et la famille.
Selon le sondage publié aujourd'hui, un quart (25 %) des mères au travail
affirment que leurs employeurs n'offrent aucun programme pour faciliter le
retour au travail. Ce qui faciliterait la vie de ces mamans serait d'offrir
des heures de travail flexibles, une garderie sur place ainsi que la
possibilité de faire du travail à la maison à l'occasion.
"Pour les supers mamans qui travaillent à l'extérieur de la maison,
essayer de trouver un équilibre entre leur carrière et leur famille peut les
amener à relever de sérieux défis, affirme Bruno Gendron, vice-président,
région de l'Est du Canada, pour Workopolis. En raison du marché de l'emploi
actuel et de la pénurie de main d'oeuvre, les employeurs avisés savent qu'il
est plus important que jamais de reconnaître les besoins des mères au travail
et de mettre en oeuvre des programmes pour continuellement attirer et garder
les employées talentueuses."
Ce que font les employeurs pour faciliter le retour au travail des mères
Près de la moitié des mères au travail (48 %) ont révélé que leurs
employeurs leur donnent des heures de travail flexibles, afin d'aider leur
retour au travail, ce qui signifie pour plusieurs mères qu'elles réussissent à
la fois de faire les boîtes à lunch des enfants et d'arrivent à l'heure au
bureau. La possibilité de prolonger le congé de maternité est également en
tête de liste des avantages que les employeurs offrent aux mères - une mère au
travail sur cinq (20 %) est restée un peu plus longtemps à la maison avant de
retourner au travail.
<<>>
Les employeurs du Québec semblent toutefois préconiser la possibilité
d'un congé de maternité prolongé, encore plus que les employeurs du reste du
Canada. Un tiers des mères au travail du Québec rapportent que leurs
employeurs offrent des congés de maternité prolongés.
Ce que veulent les mères
Évidemment, les heures de travail flexibles sont au premier rang pour ce
que désire les mères au travail avec un tiers (32 %) des mères indiquant cette
option comme étant la meilleure pour les aider à équilibrer leurs horaires
chargés. L'option de la garderie au lieu de travail est également très
populaire, se retrouvant en deuxième position, avec 13 % des mères qui
indiquent que c'est ce qu'elles préféreraient pour faciliter la conciliation.
Il existe plus d'employeurs qui offrent actuellement des possibilités de
congé de maternité prolongé qu'il y a de mères au travail qui y sont
intéressées, avec seulement 10 % des mères qui préconisent cette option.
La salle de conférence contre la salle de lavage
Trop souvent, les mères doivent choisir entre travailler de longues
heures pour rencontrer des échéances au travail et assister à la pièce de
théâtre de l'école de leur enfant. Plus d'un quart (27 %) des mères au travail
qui ont répondu au sondage affirment que la plus grande difficulté rencontrée
est le temps qu'elles passent loin de leur famille. Une mère sur dix (9 %)
affirme que son plus grand défi est de se faire prendre au sérieux en tant que
mère au travail. Mais, par-dessus tout, les mères ont répondu qu'elles ne
parviennent pas à trouver le temps dans la journée pour faire les tâches
ménagères Près de 40 % des répondantes ont indiqué que cela était leur plus
grand défi.
"La diversité sur le marché du travail apporte de la diversité d'idées,
ce qui ajoute à l'avantage concurrentiel sur le plan des affaires, indique
M. Gendron. Si un grand nombre de mères au travail décidaient que : 'Les défis
de la conciliation travail-famille sont trop importants, la vie sera beaucoup
plus facile en restant à la maison', l'économie de ce pays s'écroulerait
brutalement."
Des récompenses bien méritées
Plus de la moitié (52 %) des mères qui travaillent sont d'avis que la
contribution financière qu'elles apportent au foyer familial est la plus
grande récompense de la conciliation travail-famille. Trois mères sur dix
(29 %) ont indiqué que la satisfaction provenant de leur travail était la plus
grande récompense, et un autre 10 % des répondantes ont affirmé que leur plus
grande motivation était que le fait de travailler à l'extérieur de la maison
leur permet d'être de meilleures mères pour leurs enfants.
[...]
À propos du sondage : Le sondage, réalisée par la firme de recherche
Decima entre le 19 avril et le 30 avril 2007 a été mené par téléphone à
travers le Canada auprès d'un échantillon représentatif de 219 mères
canadiennes au travail. La marge d'erreur est +/-6,6 %.
Publié par :
Christine Simard
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10/15/2007
Train -garderie - boulot - dodo et notre merveilleux CPE
Train-garderie-boulot-souper-ménage-tv-reboulot-comité-dodo
Je viens de vous résumer mon quotidien.
En fait, il y a des jours où c'est plus relax : train-garderie-boulot-souper-tv-dodo.
Nos fins de semaine ressemblent à ceci : dodo-déjeuner-internet-journal-redodo-douche-jouer avec fiston-lavage-épicerie-cuisine-souper-film-dodo sur le divan-transfert du divan au lit. Ca ne fera des enfants forts, ça!
Ceci dit, depuis que fiston est dans un CPE situé à proximité du boulot, notre vie a changé, malgré les apparences! Tous les matins, c'est le bonheur! Fiston se fait un devoir de saluer le conducteur du train et de lui faire la jasette une fois le train arrivé à destination. Fiston adore sa nouvelle garderie et a désormais une "amoureuse", m'a-t-il confié un soir après le bain (elle s'appelle Axel, mais shuttt!). En moins de deux semaines, il était parfaitement intégré à son nouveau milieu et pouvait déjà nommer tous ses petits amis. Cinq semaines plus tard, il connaît plusieurs phrases en anglais et son vocabulaire dans cette langue a certainement triplé.
Parmi les nombreux attraits de ce CPE, il y a l'atmosphère. Les éducatrices sont gentilles et professionnelles. Les valeurs dont nous a parlé la directrice au moment de l'inscription - ouverture, inclusion des parents, respect - sont bien réelles. Le matin, personne ne nous presse pour qu'on parte. Le soir, personne ne nous regarde de travers pour insinuer qu'il est "tard". Les éducatrices éduquent vraiment les enfants. Le pouls de leur comportement est pris quotidiennement et tous les vendredis, les enfants apprenent à auto-évaluer leur comportement.
À la maison, fiston se transforme en citoyen exemplaire. Notre petit homme se charge désormais de servir au chat son bol de céréales. Il nous fait la morale si on gaspille l'eau et tient à participer à la préparation du souper avec maman et insiste pour préparer le recyclage avec papa. C'est pas beau, ça?
Maintenant, il faut cesser de s'endormir sur le divan, sinon on va l'attendre longtemps le petit frère ou la petite soeur!!!!
Bonne semaine :-)
Je viens de vous résumer mon quotidien.
En fait, il y a des jours où c'est plus relax : train-garderie-boulot-souper
Nos fins de semaine ressemblent à ceci : dodo-déjeuner-internet-journal
Ceci dit, depuis que fiston est dans un CPE situé à proximité du boulot, notre vie a changé, malgré les apparences! Tous les matins, c'est le bonheur! Fiston se fait un devoir de saluer le conducteur du train et de lui faire la jasette une fois le train arrivé à destination. Fiston adore sa nouvelle garderie et a désormais une "amoureuse", m'a-t-il confié un soir après le bain (elle s'appelle Axel, mais shuttt!). En moins de deux semaines, il était parfaitement intégré à son nouveau milieu et pouvait déjà nommer tous ses petits amis. Cinq semaines plus tard, il connaît plusieurs phrases en anglais et son vocabulaire dans cette langue a certainement triplé.
Parmi les nombreux attraits de ce CPE, il y a l'atmosphère. Les éducatrices sont gentilles et professionnelles. Les valeurs dont nous a parlé la directrice au moment de l'inscription - ouverture, inclusion des parents, respect - sont bien réelles. Le matin, personne ne nous presse pour qu'on parte. Le soir, personne ne nous regarde de travers pour insinuer qu'il est "tard". Les éducatrices éduquent vraiment les enfants. Le pouls de leur comportement est pris quotidiennement et tous les vendredis, les enfants apprenent à auto-évaluer leur comportement.
À la maison, fiston se transforme en citoyen exemplaire. Notre petit homme se charge désormais de servir au chat son bol de céréales. Il nous fait la morale si on gaspille l'eau et tient à participer à la préparation du souper avec maman et insiste pour préparer le recyclage avec papa. C'est pas beau, ça?
Maintenant, il faut cesser de s'endormir sur le divan, sinon on va l'attendre longtemps le petit frère ou la petite soeur!!!!
Bonne semaine :-)
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